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La radio gagne du terrain en 2024 selon le benchmark UBA/UMA
Le troisième benchmark d’UBA et UMA sur les investissements publicitaires nets en Belgique est clair : la radio résiste – et progresse même. Avec une part de marché de 14,3 % (contre 14,0 % en 2023), elle consolide sa solide deuxième place derrière la télévision, qui recule de 32,8 % à 29,5 %.
Dans un paysage publicitaire de plus en plus digitalisé, c’est une belle performance. Les médias numériques représentent désormais près de 42 % des dépenses, portés par la vidéo en ligne et le DOOH. Mais la radio tient bon, grâce à sa portée large, son ancrage local et son efficacité prouvée.
Un média classique qui progresse
Basé sur les données de 16 agences médias (UMA) et une enquête auprès d’annonceurs (UBA), le benchmark montre que la radio est le seul média traditionnel à gagner des parts de marché en 2024. La presse, les magazines et la télévision sont tous en recul.
La radio se classe deuxième dans le classement des investissements médias, devant les réseaux sociaux payants et l’affichage. Et comme les investissements digitaux en radio sont comptés dans les chiffres numériques, cette part ne reflète que la publicité radio classique. L’impact réel est donc encore plus grand.
Un média 100 % local, à forte valeur ajoutée
Alors que 62 % des investissements digitaux partent vers des plateformes internationales, la radio reste un média local, porté par des chaînes et des producteurs belges. Pour les marques qui misent sur la préférence, la notoriété et l’impact local, c’est un atout de taille.
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